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En bref, une console reconditionné e-Recycle c’est :
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Tout a commencé en 1951, l’ingénieur en télévision et inventeur Ralph Baer imagine un système électronique permettant d’interagir avec ce qui est affiché à l’écran d’un téléviseur. Enthousiaste, il propose son concept à son employeur de l’époque, Sanders Associates qui valide l’idée, intrigué par ce concept atypique. Ainsi, s’en suivent 3 années de développement atour de plusieurs prototypes jusqu’à la création d’un septième prototype : la Brown Box, soit la toute première console stable.
Rachetée par la société Magnavox, la Brown Box de Ralph Baer voit le jour en 1972 auprès du grand public sous le nom d’Odyssey. La première console de jeux vidéo grand public était née. Composée de deux points lumineux déplaçables indépendamment et de filtres de couleurs permettant de planter le décor de chacun des 9 jeux fournis avec la console, parmi lesquels, le fameux jeu de tennis de table qui sera porté sur borne d’arcade par Atari sous le nom « Pong ».
Les années passent et en 1983 le secteur du jeu vidéo subit un crash dû au désintéressement progressif du public. Si celui-ci n’est plus aussi séduit par les consoles de salon, c’est parce que l’unique gameplay basé sur le scoring est plus adapté aux parties rapides dans un café qu’au jeu à la maison.
En 1984, l’avènement des micro-ordinateurs tels que l’Amiga 500 et l’Atari ST permet l’introduction de nouveaux périphériques de jeu : le clavier et la souris. Cette nouvelle façon de jouer couplée à des machines plus performantes ouvre le champ des possibles en matière de jeux vidéo.
C’est ainsi que de nombreux nouveaux genres de jeux font leur entrée : Dungeon Master et son interface utilisateur HUD, populos qui inaugure le jeu de stratégie, Sims city démocratise le jeu de gestion et Monkey Island, le point and click.
En parallèle, le secteur du jeu vidéo connaît l’arrivée des consoles portables : Atari Lynx et Sega Gamegear. Chères et énergivores (6 piles pour 2h d’autonomie), elles ne rencontrent pas un grand succès et sont rapidement éclipsées par le Gameboy de Nintendo sorti en 1989 et son jeu phare : Tetris.
En sortant diverses déclinaisons, plus fines, moins énergivores et en couleurs, le Gameboy de Nintendo reste la star des consoles portables pendant une dizaine d’années. Véritable record que Nintendo doit également à Pokémon, un jeu au gameplay et à la durée de vie exceptionnelle. Pokémon popularise aussi le jeu interconsoles via câble « Link », puisque deux versions du jeu devront être utilisées pour posséder toutes les créatures (versions rouge et bleu).
Ce nouvel élan permet le renouveau du jeu vidéo avec des consoles de salon retravaillées et plus performantes qui supportent dorénavant des jeux aux gameplays variés. En 1985, Nintendo ouvre la marche avec la NES, version européenne de sa Famicom, quand Sega propose sa console Mastersystem. Le gameplay des titres proposés est alors scénarisé et basé sur une histoire, une intrigue et un monde évolutif mettant en avant des figures fortes comme Mario ou Alex Kidd.
Débute alors une guerre acharnée entre les deux géants du jeu vidéo : Nintendo et Sega.
Sega prend une avance technique avec sa Megadrive, première console 16 Bits et passe devant Nintendo aux USA. Pour conserver cette avance, la firme au hérisson mise sur des jeux de sport mettant en scène les athlètes américains, des jeux Disney destinés aux jeunes joueurs et des jeux sur des figures de la pop culture comme Michael Jackson’s Moonwalker.
En 1990, Nintendo réagit avec la super Nintendo proposant également du 16 bits, un catalogue à base de licences fortes telles que Mario ou Zelda. Les deux firmes s’affrontent sur tous les champs : catalogue toujours plus poussé, graphismes améliorés et publicités travaillés mettant en scène leurs mascottes respectives, le plombier Mario chez Nintendo et le hérisson bleu Sonic chez Sega.
Divers types de jeux voient le jour durant les années 1990 comme les jeux de combat, d’abord en beat them all avec Kungfu Master intégrant la barre de vie chez l’adversaire, concept qui sera repris pour le premier versus fighting : Street Fighter. Par la suite c’est Id Software, qui démocratisera les premiers Shoot em up en vue subjective, pour aboutir au premier FPS : Wolfenstein 3D et son célèbre successeur Doom.
Avec ces ébauches de jeux en vue subjective, un nouveau type de jeu révolutionnaire fait son apparition : le jeu 3D. Demandant des machines beaucoup plus performantes, le jeu 3D sera dans un premier temps réservé aux bornes d’arcade. À ce moment-là, la qualité a beau être médiocre, la technologie jusqu’à lors inédite impressionne les joueurs.
Dans les années 1994, le jeu vidéo 16 bits est révolu, l’avenir est marqué par l’avènement de la 3D au sein des consoles de salon. D’abord par le biais de la Panasonic 3DO et de l’Atari Jaguar qui sont rapidement dépassées par la Sega Saturn dont le succès reste de courte durée suite à l’arrivée du géant invétéré du jeu vidéo depuis bientôt 30 ans : Sony.
La PlayStation et son lecteur CD séduisent le public et Sony devient le plus gros acteur du jeu vidéo, avec des ventes largement en tête de toutes les consoles existantes. L’avance technologique et le catalogue composé de véritables perles vidéoludiques de la PlayStation donnent une avance non négligeable à Sony sur le géant historique Nintendo qui peine à lutter en sortant 2 ans plus tard, la Nintendo 64, fonctionnant toujours avec des cartouches.
Final fantasy, dragon quest, MGS et Castlevania, Sony rafle les titres les plus prisés à ses concurrents et offre une image plus adulte au jeu vidéo avec Resident Evil, Tomb Raider ou encore Grand Turismo. Face à l’écrasante domination de la PlayStation, tous déposent plus ou moins rapidement les armes, sauf Nintendo qui compte bien reprendre sa position de leader avec des jeux parmi les plus emblématiques de l’histoire du jeu vidéo : Zelda ocarina of Time, Super Mario 64, et le grand Smash Bros, référence incontestée du jeu en multijoueur sur consoles de salon.
Aujourd’hui, si Sony reste finalement le leader mondial par ses ventes et son catalogue, c’est bien à Nintendo et son mythique plombier moustachu Mario que l’on doit les plus grandes avancées de l’histoire du jeu vidéo. Une chose est sûre, dans le cœur des joueurs, ces deux sociétés ont largement contribué à la naissance de leur passion pour le gaming.